18 janvier 1814
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18 janvier 1814
Bataille de Choignes le 18 janvier 1814.
Cette bataille est tres peu connue car il exsite peu d'informations la concernant.
Le 18 janvier, après avoir retardé Giulay à Langres, le Maréchal Mortier se dirige vers Chaumont et c'est là qu'il tombe sur les Wurtembourgeois.
Les Wurtemburgeois de l'armée de Bohême (13000 hommes) s'opposent et la 1ère division de Vieille garde de Friant (5900 hommes) la 3ème division de jeune garde de Laferrière-Levêque (2500 hommes).
Voici ce que j'ai trouvé :
Au point du jour, le prince de Schwarzenberg, généralissime des alliés, ordonne au comte Giulay et au Prince royal du Wurtemberg sur la ville de Choignes. Le premier s'avanca par la route directe, le second pris la route de Bourbonne à Montagny. Déjà il s'était emparé de Choignes et allait devenir maitre du pont qui était en avant de ce village, lorsque survint 400 grenadiers de la vieille garde. Des lors la fortune changea : non seuelement les français reprirent Choignes, et conservèrent le pont, mais ils culbuterent dans la Marne deux bataillons wurtembergeois qui furent entièrement noyés. Néanmoins, attaqué sur sa droite et sur son front, par le comte Guilay et par le prince royal, de plus, menacé sur sa gauche par le comte De Wrede, le Maréchal Mortier qui n'avait que 6 à 7000 hommes, fut forcé de se replié sur Bar sur Aube.
Sources : dictionnaire encyclopédique de la France, Tome 5, par PH. LeBas, Paris 1841.
Cette bataille est tres peu connue car il exsite peu d'informations la concernant.
Le 18 janvier, après avoir retardé Giulay à Langres, le Maréchal Mortier se dirige vers Chaumont et c'est là qu'il tombe sur les Wurtembourgeois.
Les Wurtemburgeois de l'armée de Bohême (13000 hommes) s'opposent et la 1ère division de Vieille garde de Friant (5900 hommes) la 3ème division de jeune garde de Laferrière-Levêque (2500 hommes).
Voici ce que j'ai trouvé :
Au point du jour, le prince de Schwarzenberg, généralissime des alliés, ordonne au comte Giulay et au Prince royal du Wurtemberg sur la ville de Choignes. Le premier s'avanca par la route directe, le second pris la route de Bourbonne à Montagny. Déjà il s'était emparé de Choignes et allait devenir maitre du pont qui était en avant de ce village, lorsque survint 400 grenadiers de la vieille garde. Des lors la fortune changea : non seuelement les français reprirent Choignes, et conservèrent le pont, mais ils culbuterent dans la Marne deux bataillons wurtembergeois qui furent entièrement noyés. Néanmoins, attaqué sur sa droite et sur son front, par le comte Guilay et par le prince royal, de plus, menacé sur sa gauche par le comte De Wrede, le Maréchal Mortier qui n'avait que 6 à 7000 hommes, fut forcé de se replié sur Bar sur Aube.
Sources : dictionnaire encyclopédique de la France, Tome 5, par PH. LeBas, Paris 1841.
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