Décès du Général Louis Beaudonnet
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Décès du Général Louis Beaudonnet
Un grand ancien vient de s'éteindre
Le général Louis Beaudonnet, le gendarme le plus décoré de l'Arme, grand officier de la Légion d'Honneur et grand croix de l'Ordre National du Mérite, croix de guerre et titulaire de plus d'une dizaine de citation, s'est éteint le 16 avril 2014 à l'âge de 91 ans.
Il était de tous les combats depuis son engagement en 1941. A peine âgé de 17 ans, il quitte la France occupée pour rejoindre l'Angleterre. L'année suivante, en 1941, il s'engage dans l'armée d'armistice avant de rejoindre la Garde. En 1944, il rejoint la 1ère Armée française et participe aux combats de la Libération. Il intègre l'EOGN en 1946 avant de partir en Indochine, où il passera 38 mois de séjour, qu'il quitte pour un nouveau séjour de 30 mois en Afrique. Le général revient en 1953 en Cochinchine ou il servira jusqu'en 1956. Il arrive ensuite en Algérie où il prend le commandement d'une compagnie de gendarmerie. Il occupe en Algérie différents postes, jusqu'à celui d'officier de sécurité de l'ambassade de France jusqu'en 1966. Il sert ensuite dans les FFA, puis à Maisons-Alfort, où il conduit les formations communes entre le GIGN naissant et le GSG9 allemand. Il quitte le service actif en 1981. Il a rédigé 2 ouvrages sur l'Indochine. Il est également le seul gendarme à qui l'on donnera le nom d'un bâtiment de son vivant, au fort de Charenton
Le général Louis Beaudonnet, le gendarme le plus décoré de l'Arme, grand officier de la Légion d'Honneur et grand croix de l'Ordre National du Mérite, croix de guerre et titulaire de plus d'une dizaine de citation, s'est éteint le 16 avril 2014 à l'âge de 91 ans.
Il était de tous les combats depuis son engagement en 1941. A peine âgé de 17 ans, il quitte la France occupée pour rejoindre l'Angleterre. L'année suivante, en 1941, il s'engage dans l'armée d'armistice avant de rejoindre la Garde. En 1944, il rejoint la 1ère Armée française et participe aux combats de la Libération. Il intègre l'EOGN en 1946 avant de partir en Indochine, où il passera 38 mois de séjour, qu'il quitte pour un nouveau séjour de 30 mois en Afrique. Le général revient en 1953 en Cochinchine ou il servira jusqu'en 1956. Il arrive ensuite en Algérie où il prend le commandement d'une compagnie de gendarmerie. Il occupe en Algérie différents postes, jusqu'à celui d'officier de sécurité de l'ambassade de France jusqu'en 1966. Il sert ensuite dans les FFA, puis à Maisons-Alfort, où il conduit les formations communes entre le GIGN naissant et le GSG9 allemand. Il quitte le service actif en 1981. Il a rédigé 2 ouvrages sur l'Indochine. Il est également le seul gendarme à qui l'on donnera le nom d'un bâtiment de son vivant, au fort de Charenton
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