Marc La Bréole
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Marc La Bréole
Bonjour,
Je me présente: Marc La Bréole. Trentenaire, je suis quasiment marié et père d'une petite fille de 2 ans et 9 mois.
J'habite a Colmar et pour l'instant, je travaille sur la région parisienne donc vous pouvez imaginer les aller-retours.
Au niveau reconstitution, cela fait 12 ans que je donne dans le 1er Empire. Franco-britannique, j'ai toujours représenté le fantassin britannique et francais de cette période de l'histoire. Mon premier groupe fut le 1st Foot Guards (fusilier) en 1998 et c'est uniquement en 2000 que je rejoins un groupe francais (21e de Ligne en fusilier). En 2003, je change de groupe francais (85e de Ligne toujours en fusilier) et puis je crée le 1er de Ligne (fusiliers) en 2008. Ce n'est qu'en 2008 que je change de groupe britannique (3rd East Kent Buffs...en fusilier) et en 2008, je crée le premier groupe d'infanterie britannique en France (3rd East Kent Buffs, 7th Company). En 2006, je suis a l'origine de la création de la "Charte d'Histoire-Vivante" qui prône une immersion plus poussé de la reconstitution militaire en Ier Empire.
Également instructeur quand je veux bien le faire...il paraît que j'ai une certaine réputation dans ce domaine.
Voici l'historique de mon personnage quand je porte l'uniforme français:
Marc LEYDET
Je m'appelle Marc Leydet et je suis natif des Hautes-Alpes-de-Provence, née le 19 avril 1780 dans la ville de Gap de Jean-Pierre et Marie-Claude Leydet. J'ai un frère cadet (Pierre) et j'avais aussi un frère ainé (Thomas) qui est mort pendant la Révolution.
Ma famille habitait dans un petit village dans la vallée de l'Ubaye, La Bréole,. Mon père, ouvrier de pierre de grand talent, était connu dans tout le Pays de l'Ubaye pour la qualité de son travail et de son expérience.
Suite à la campagne en Autriche et la guerre en Espagne qui faisait toujours rage, le désire de l'Empereur pour combler les vides de l'armée fait qu'une levée de conscrits s'est organisée dans mon département en 1809 et après avoir tiré un mauvais numéro pendant la cérémonie de conscription dans mon village, j'étais ordonné de rejoindre le dépôt du 57eme régiment d'infanterie de ligne à Annecy.
Je reste dans le dépôt du 57e de Ligne jusqu'en 1812, où j'ai non seulement appris à lire et à écrire mais, par la gentillesse d'un de mes camarade de chambrée, j'ai également appris mon métier de cordonnier, ce qui me permettais d'avoir un niveau de vie assez correcte pour un simple fusilier.
Hélas, mon long séjour pris fin en début 1812 lorsque je dois rejoindre mon régiment en Pologne, afin de participer à la campagne de Russie, combattant à Smolensk où je suis blessé au bras. Cette blessure me permet d'être renvoyer à un hôpital en Prusse et j'échappe de l'horreur de la retraite de Moscou en conséquence. Déclaré de nouveau apte à servir mais mon régiment ayant disparu dans les neiges de la Russie, je suis intégré au 85e de Ligne et participera à la défense de la ville de Dresde en 1813 avant de me retrouver prisonnier-de-guerre suite à la capitulation de cette garnison en septembre 1813.
Après l'abdication de l'Empereur, je suis relâché et je regagne mes Alpes, ouvrant un petit atelier de cordonnerie dans mon village. Mais, je fût rappelé sous les drapeaux en 1815 lors du retour de l'Empereur et intégré le 1er Régiment de Ligne, faisant parti de la division du Prince Jérôme Bonaparte et attaché au IIIe Corps du Général Reille . Je serai présent à la bataille de Quatre-Bras, participant à la prise de la ferme du Grand-Pierrepont ainsi que la prise (et retraite) du Bois de Bossu.
Deux jours plus tard, je serai à Waterloo me battant contre les anglo-hanoveriens autour de la ferme d'Hougoumont où je fût blessé à l'épaule par une balle anglaise. Cette blessure était mon moyen de sortie de cette bataille en me portant à un poste de secours, avant de rejoindre la déroute de l'armée battue. Je serai à nouveau remis en circulation dans la vie civile après l'exile de l'Empereur.
Une fois de plus, je retrouve mes Alpes et ma boutique et je me marierai avec une amie d'enfance, Claudine Duprés, qui me donnera 2 garçons: Thomas et Simon.
Enfin, ma vie s'achèvera le 2 février 1830.
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Je me présente: Marc La Bréole. Trentenaire, je suis quasiment marié et père d'une petite fille de 2 ans et 9 mois.
J'habite a Colmar et pour l'instant, je travaille sur la région parisienne donc vous pouvez imaginer les aller-retours.
Au niveau reconstitution, cela fait 12 ans que je donne dans le 1er Empire. Franco-britannique, j'ai toujours représenté le fantassin britannique et francais de cette période de l'histoire. Mon premier groupe fut le 1st Foot Guards (fusilier) en 1998 et c'est uniquement en 2000 que je rejoins un groupe francais (21e de Ligne en fusilier). En 2003, je change de groupe francais (85e de Ligne toujours en fusilier) et puis je crée le 1er de Ligne (fusiliers) en 2008. Ce n'est qu'en 2008 que je change de groupe britannique (3rd East Kent Buffs...en fusilier) et en 2008, je crée le premier groupe d'infanterie britannique en France (3rd East Kent Buffs, 7th Company). En 2006, je suis a l'origine de la création de la "Charte d'Histoire-Vivante" qui prône une immersion plus poussé de la reconstitution militaire en Ier Empire.
Également instructeur quand je veux bien le faire...il paraît que j'ai une certaine réputation dans ce domaine.
Voici l'historique de mon personnage quand je porte l'uniforme français:
Marc LEYDET
Je m'appelle Marc Leydet et je suis natif des Hautes-Alpes-de-Provence, née le 19 avril 1780 dans la ville de Gap de Jean-Pierre et Marie-Claude Leydet. J'ai un frère cadet (Pierre) et j'avais aussi un frère ainé (Thomas) qui est mort pendant la Révolution.
Ma famille habitait dans un petit village dans la vallée de l'Ubaye, La Bréole,. Mon père, ouvrier de pierre de grand talent, était connu dans tout le Pays de l'Ubaye pour la qualité de son travail et de son expérience.
Suite à la campagne en Autriche et la guerre en Espagne qui faisait toujours rage, le désire de l'Empereur pour combler les vides de l'armée fait qu'une levée de conscrits s'est organisée dans mon département en 1809 et après avoir tiré un mauvais numéro pendant la cérémonie de conscription dans mon village, j'étais ordonné de rejoindre le dépôt du 57eme régiment d'infanterie de ligne à Annecy.
Je reste dans le dépôt du 57e de Ligne jusqu'en 1812, où j'ai non seulement appris à lire et à écrire mais, par la gentillesse d'un de mes camarade de chambrée, j'ai également appris mon métier de cordonnier, ce qui me permettais d'avoir un niveau de vie assez correcte pour un simple fusilier.
Hélas, mon long séjour pris fin en début 1812 lorsque je dois rejoindre mon régiment en Pologne, afin de participer à la campagne de Russie, combattant à Smolensk où je suis blessé au bras. Cette blessure me permet d'être renvoyer à un hôpital en Prusse et j'échappe de l'horreur de la retraite de Moscou en conséquence. Déclaré de nouveau apte à servir mais mon régiment ayant disparu dans les neiges de la Russie, je suis intégré au 85e de Ligne et participera à la défense de la ville de Dresde en 1813 avant de me retrouver prisonnier-de-guerre suite à la capitulation de cette garnison en septembre 1813.
Après l'abdication de l'Empereur, je suis relâché et je regagne mes Alpes, ouvrant un petit atelier de cordonnerie dans mon village. Mais, je fût rappelé sous les drapeaux en 1815 lors du retour de l'Empereur et intégré le 1er Régiment de Ligne, faisant parti de la division du Prince Jérôme Bonaparte et attaché au IIIe Corps du Général Reille . Je serai présent à la bataille de Quatre-Bras, participant à la prise de la ferme du Grand-Pierrepont ainsi que la prise (et retraite) du Bois de Bossu.
Deux jours plus tard, je serai à Waterloo me battant contre les anglo-hanoveriens autour de la ferme d'Hougoumont où je fût blessé à l'épaule par une balle anglaise. Cette blessure était mon moyen de sortie de cette bataille en me portant à un poste de secours, avant de rejoindre la déroute de l'armée battue. Je serai à nouveau remis en circulation dans la vie civile après l'exile de l'Empereur.
Une fois de plus, je retrouve mes Alpes et ma boutique et je me marierai avec une amie d'enfance, Claudine Duprés, qui me donnera 2 garçons: Thomas et Simon.
Enfin, ma vie s'achèvera le 2 février 1830.
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Invité- Invité
Re: Marc La Bréole
et bien ça c'est de la présentation !!!!!
la classe !!!!
Bienvenue parmis nous et a tres bientot dans des discutions intéressantes et a tres bientot sur le terrain !
patrice
aide de camp
la classe !!!!
Bienvenue parmis nous et a tres bientot dans des discutions intéressantes et a tres bientot sur le terrain !
patrice
aide de camp
Re: Marc La Bréole
Bienvenue!!!
c'est le premier que je rencontre qui connait la date de sa "mort"
remarquez, en fait nous aussi, ce sera le 21 decembre 2012
c'est le premier que je rencontre qui connait la date de sa "mort"
remarquez, en fait nous aussi, ce sera le 21 decembre 2012
Invité- Invité
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