Miramas : un important vol d'explosifs et de détonateurs sur un site de l'armée
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Miramas : un important vol d'explosifs et de détonateurs sur un site de l'armée
Miramas : un important vol d'explosifs et de détonateurs sur un site de l'armée :
La piste d'une attaque terroriste ou celle du grand banditisme ? Selon les informations d'Europe 1, 180 détonateurs et des dizaines de pains de plastic ont été dérobés dans un dépôt de munitions de l'armée de terre, à Miramas, dans les Bouches-du-Rhône, dans la nuit de dimanche à lundi.
INFO EUROPE 1 - Voici une affaire particulièrement embarrassante pour le ministère de la Défense. Selon les informations d'Europe 1, un ou plusieurs individus ont réussi à s'introduire dans l'enceinte d'un important dépôt de munitions de l'armée de terre dans la nuit de dimanche à lundi. Et les malfaiteurs, qui ont pénétré sur ce site situé à Miramas, dans les Bouches-du-Rhône, ne sont pas repartis les mains vides. Selon nos informations, Ils auraient emporté de nombreux détonateurs et des quantités importantes d'explosifs.
180 détonateurs, une dizaine de pains de plastic, des grenades. 180 détonateurs - électroniques et pyrotechniques - ainsi qu'au moins une dizaine de pains de plastic et une quarantaine de grenades ont disparu de ce site militaire dans la nuit de dimanche à lundi. Et il ne s'agit là que de premières estimations qui restent à confirmer : l'inventaire était toujours en cours, lundi soir sur place.
Neuf bâtiments forcés. Le site de Miramas ne se présente pas comme une caserne entourée par des murs. Il s'agit d'avantage d'une grosse plateforme logistique de l'Armée de Terre. Un lieu de stockage de matériel pour les opérations extérieures, "les Opex" qui sont menées en Afrique. Mais il s'agit également d'un lieu de stockage de munitions. Des dizaines de bâtiments, isolés les uns des autres par mesure de sécurité, composent le site qui s'étend sur 250 hectares, entourés par deux rangées de grillage, sans caméras de vidéosurveillance.
En journée, le site est fréquenté par 200 militaires et civils. La nuit, il ne reste que quelques gardiens et les militaires qui dorment sur place. Selon nos informations, ce sont neuf bâtiments, ou "alvéoles", dans le jargon militaire, qui ont été forcés. Les malfaiteurs sont repartis en perçant et soulevant le grillage.
Une affaire signalée en haut-lieu. Mardi matin, les enquêteurs n'avancent aucune hypothèse franche et définitive, mais font état de craintes d'une attaque terroriste auxquelles s'ajoutent la piste plus traditionnelle du grand banditisme. Ce vol a en tout cas été commis par des individus bien renseignés : des militaires ou anciens militaires, des hommes qui connaissaient bien le lieu. La gendarmerie a été chargée de l'enquête et l'affaire, ultra-sensible, a été signalée au plus haut sommet de l'Etat.
La piste d'une attaque terroriste ou celle du grand banditisme ? Selon les informations d'Europe 1, 180 détonateurs et des dizaines de pains de plastic ont été dérobés dans un dépôt de munitions de l'armée de terre, à Miramas, dans les Bouches-du-Rhône, dans la nuit de dimanche à lundi.
INFO EUROPE 1 - Voici une affaire particulièrement embarrassante pour le ministère de la Défense. Selon les informations d'Europe 1, un ou plusieurs individus ont réussi à s'introduire dans l'enceinte d'un important dépôt de munitions de l'armée de terre dans la nuit de dimanche à lundi. Et les malfaiteurs, qui ont pénétré sur ce site situé à Miramas, dans les Bouches-du-Rhône, ne sont pas repartis les mains vides. Selon nos informations, Ils auraient emporté de nombreux détonateurs et des quantités importantes d'explosifs.
180 détonateurs, une dizaine de pains de plastic, des grenades. 180 détonateurs - électroniques et pyrotechniques - ainsi qu'au moins une dizaine de pains de plastic et une quarantaine de grenades ont disparu de ce site militaire dans la nuit de dimanche à lundi. Et il ne s'agit là que de premières estimations qui restent à confirmer : l'inventaire était toujours en cours, lundi soir sur place.
Neuf bâtiments forcés. Le site de Miramas ne se présente pas comme une caserne entourée par des murs. Il s'agit d'avantage d'une grosse plateforme logistique de l'Armée de Terre. Un lieu de stockage de matériel pour les opérations extérieures, "les Opex" qui sont menées en Afrique. Mais il s'agit également d'un lieu de stockage de munitions. Des dizaines de bâtiments, isolés les uns des autres par mesure de sécurité, composent le site qui s'étend sur 250 hectares, entourés par deux rangées de grillage, sans caméras de vidéosurveillance.
En journée, le site est fréquenté par 200 militaires et civils. La nuit, il ne reste que quelques gardiens et les militaires qui dorment sur place. Selon nos informations, ce sont neuf bâtiments, ou "alvéoles", dans le jargon militaire, qui ont été forcés. Les malfaiteurs sont repartis en perçant et soulevant le grillage.
Une affaire signalée en haut-lieu. Mardi matin, les enquêteurs n'avancent aucune hypothèse franche et définitive, mais font état de craintes d'une attaque terroriste auxquelles s'ajoutent la piste plus traditionnelle du grand banditisme. Ce vol a en tout cas été commis par des individus bien renseignés : des militaires ou anciens militaires, des hommes qui connaissaient bien le lieu. La gendarmerie a été chargée de l'enquête et l'affaire, ultra-sensible, a été signalée au plus haut sommet de l'Etat.
Re: Miramas : un important vol d'explosifs et de détonateurs sur un site de l'armée
Bouches-du-Rhône : important vol d'explosifs et de détonateurs sur un site de l'armée :
L’affaire pourrait être embarrassante pour le ministère de la Défense. D’après Europe 1, 200 détonateurs et des dizaines de pains de plastic ont été dérobés dans la nuit de dimanche à lundi dans un dépôt de munition de l'armée de terre, à Miramas, dans les Bouches-du-Rhône.
D’après les informations de la radio, des individus ont réussi à s’introduire dans le site, emportant, d’après les premières estimations, de nombreux détonateurs et des quantités importantes d'explosifs, et probablement un stock de grenades.
Des individus bien renseignées
Le site militaire de Miramas est en fait davantage une grosse plateforme logistique de l’armée de terre, qu’une caserne entourée de murs, composé de dizaines de bâtiments isolés les uns des autres, sur 250 hectares, entourés de grillages. D’après Europe 1, neuf de ces bâtiments ont été forcés : les malfaiteurs sont repartis en perçant et soulevant le grillage. En journée, quelques 200 militaires et civils sont sur le site, mais seuls quelques gardiens et militaires restent la nuit. Le site sert de lieu de stockage de matériel et de munitions pour les opérations extérieures, notamment celles qui sont menées en Afrique.
La gendarmerie a été chargée de l’enquête et l’affaire signalée "au plus haut sommet de l’Etat". Pour l’instant, aucune hypothèse définitive n’est avancée par les enquêteurs. Mais, rapporte la radio, "des craintes légitimes d'une attaque terroriste s'ajoutent à la piste plus traditionnelle du grand banditisme". Une chose est sûre : les malfaiteurs devaient être bien renseignés, pour connaître les lieux, sans doute militaires ou anciens militaires.
info metronews
L’affaire pourrait être embarrassante pour le ministère de la Défense. D’après Europe 1, 200 détonateurs et des dizaines de pains de plastic ont été dérobés dans la nuit de dimanche à lundi dans un dépôt de munition de l'armée de terre, à Miramas, dans les Bouches-du-Rhône.
D’après les informations de la radio, des individus ont réussi à s’introduire dans le site, emportant, d’après les premières estimations, de nombreux détonateurs et des quantités importantes d'explosifs, et probablement un stock de grenades.
Des individus bien renseignées
Le site militaire de Miramas est en fait davantage une grosse plateforme logistique de l’armée de terre, qu’une caserne entourée de murs, composé de dizaines de bâtiments isolés les uns des autres, sur 250 hectares, entourés de grillages. D’après Europe 1, neuf de ces bâtiments ont été forcés : les malfaiteurs sont repartis en perçant et soulevant le grillage. En journée, quelques 200 militaires et civils sont sur le site, mais seuls quelques gardiens et militaires restent la nuit. Le site sert de lieu de stockage de matériel et de munitions pour les opérations extérieures, notamment celles qui sont menées en Afrique.
La gendarmerie a été chargée de l’enquête et l’affaire signalée "au plus haut sommet de l’Etat". Pour l’instant, aucune hypothèse définitive n’est avancée par les enquêteurs. Mais, rapporte la radio, "des craintes légitimes d'une attaque terroriste s'ajoutent à la piste plus traditionnelle du grand banditisme". Une chose est sûre : les malfaiteurs devaient être bien renseignés, pour connaître les lieux, sans doute militaires ou anciens militaires.
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