un soldat de la grande guerre découvert dans la marne cette semaine
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un soldat de la grande guerre découvert dans la marne cette semaine
Marne: les restes du soldat déterrés à Cormicy en cours d’analyses
Nouvelle découverte ce mardi des restes d’un soldat de la Grande Guerre dans un champ de la Marne. Ils sont en cours d’analyses. La nationalité du soldat et son unité devraient être connues vendredi.
Mardi, les restes d’un soldat de la Première Guerre mondiale ont été retrouvés dans un champ de Cormicy, dans la Marne. Il n’est pas identifiable (la plaque n’a pas été retrouvée), mais les analyses en cours doivent permettre d’établir sa nationalité et l’unité à laquelle il appartenait. Les résultats devraient être connus demain, vendredi 20 janvier.
Ce sont les propriétaires du champ qui ont mis au jour les premiers restes, vendredi 13 janvier. « Profitant de la morte-saison, ils effectuaient des travaux pour enlever les débris de la Première Guerre mondiale repérés au fil de l’année, lorsqu’ils ont découvert des ossements », relate Julien Fargettas, directeur départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, notamment chargé de la gestion des dépouilles. « Ils ont tout arrêté, ont déposé un sac dessus et remis de la terre, puis ont prévenu le service d’archéologie du Grand-Est. »
Cinq poilus exhumés en 2015 dans le même champ
Mardi, les restes d’un soldat de la Première Guerre mondiale ont été retrouvés dans un champ de Cormicy, dans la Marne. Il n’est pas identifiable (la plaque n’a pas été retrouvée), mais les analyses en cours doivent permettre d’établir sa nationalité et l’unité à laquelle il appartenait. Les résultats devraient être connus demain, vendredi 20 janvier.
Ce sont les propriétaires du champ qui ont mis au jour les premiers restes, vendredi 13 janvier. « Profitant de la morte-saison, ils effectuaient des travaux pour enlever les débris de la Première Guerre mondiale repérés au fil de l’année, lorsqu’ils ont découvert des ossements », relate Julien Fargettas, directeur départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, notamment chargé de la gestion des dépouilles. « Ils ont tout arrêté, ont déposé un sac dessus et remis de la terre, puis ont prévenu le service d’archéologie du Grand-Est. »
Cinq poilus exhumés en 2015 dans le même champ
Les fouilles entamées mardi à 9 heures ont pris fin en début d’après-midi ce même jour. « Elles ont permis de mettre au jour la partie supérieure d’un corps, à 1,50 m de profondeur, au croisement d’une tranchée et d’un boyau. Il y a la cage thoracique, le crâne et les bras, mais en petits morceaux. On n’a pas retrouvé les jambes. Le soldat a-t-il été percuté par un obus ? D’autres obus sont-ils tombés sur lui après sa mort ? Cela reste à définir. » Selon l’archéologue qui a supervisé l’opération, le décès par percussion d’obus lui paraissait l’hypothèse la plus vraisemblable.
La dépouille gisait au niveau de la première des trois lignes allemandes qui défendaient le mont Espin, en direction du village axonais d’Aguilcourt. Cet emplacement permet de suspecter la date de la mort : avril 1917, il y a tout juste un siècle, lors de l’offensive du Chemin des Dames, dite offensive Nivelle. Une boucherie. Le mont Espin a englouti des centaines de soldats aux premiers jours de l’attaque déclenchée le 16 avril. À cet endroit, les Français ont combattu les Allemands avec leurs alliés russes et britanniques. Des soldats de Sa Majesté ont déjà été exhumés sur les différents champs de bataille, mais jamais encore un soldat du corps expéditionnaire russe.
Mardi, les restes d’un soldat de la Première Guerre mondiale ont été retrouvés dans un champ de Cormicy, dans la Marne. Il n’est pas identifiable (la plaque n’a pas été retrouvée), mais les analyses en cours doivent permettre d’établir sa nationalité et l’unité à laquelle il appartenait. Les résultats devraient être connus demain, vendredi 20 janvier.
Ce sont les propriétaires du champ qui ont mis au jour les premiers restes, vendredi 13 janvier. « Profitant de la morte-saison, ils effectuaient des travaux pour enlever les débris de la Première Guerre mondiale repérés au fil de l’année, lorsqu’ils ont découvert des ossements », relate Julien Fargettas, directeur départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, notamment chargé de la gestion des dépouilles. « Ils ont tout arrêté, ont déposé un sac dessus et remis de la terre, puis ont prévenu le service d’archéologie du Grand-Est. »
Cinq poilus exhumés en 2015 dans le même champ :
Les fouilles entamées mardi à 9 heures ont pris fin en début d’après-midi ce même jour. « Elles ont permis de mettre au jour la partie supérieure d’un corps, à 1,50 m de profondeur, au croisement d’une tranchée et d’un boyau. Il y a la cage thoracique, le crâne et les bras, mais en petits morceaux. On n’a pas retrouvé les jambes. Le soldat a-t-il été percuté par un obus ? D’autres obus sont-ils tombés sur lui après sa mort ? Cela reste à définir. » Selon l’archéologue qui a supervisé l’opération, le décès par percussion d’obus lui paraissait l’hypothèse la plus vraisemblable.
La dépouille gisait au niveau de la première des trois lignes allemandes qui défendaient le mont Espin, en direction du village axonais d’Aguilcourt. Cet emplacement permet de suspecter la date de la mort : avril 1917, il y a tout juste un siècle, lors de l’offensive du Chemin des Dames, dite offensive Nivelle. Une boucherie. Le mont Espin a englouti des centaines de soldats aux premiers jours de l’attaque déclenchée le 16 avril. À cet endroit, les Français ont combattu les Allemands avec leurs alliés russes et britanniques. Des soldats de Sa Majesté ont déjà été exhumés sur les différents champs de bataille, mais jamais encore un soldat du corps expéditionnaire russe.
C’est dans le même champ, en 2015, que les restes de cinq poilus ont été découverts. Deux d’entre eux, qui possédaient encore leur plaque militaire, ont pu être identifiés. Tombés le 16 avril 1917, ils étaient originaires de l’Ariège et du Lot-et-Garonne. Ils ont été inhumés le 13 novembre 2016, avec leurs trois camarades inconnus, à la nécropole nationale de Cormicy.
Fabrice Curlier
journal l'Union
Nouvelle découverte ce mardi des restes d’un soldat de la Grande Guerre dans un champ de la Marne. Ils sont en cours d’analyses. La nationalité du soldat et son unité devraient être connues vendredi.
Mardi, les restes d’un soldat de la Première Guerre mondiale ont été retrouvés dans un champ de Cormicy, dans la Marne. Il n’est pas identifiable (la plaque n’a pas été retrouvée), mais les analyses en cours doivent permettre d’établir sa nationalité et l’unité à laquelle il appartenait. Les résultats devraient être connus demain, vendredi 20 janvier.
Ce sont les propriétaires du champ qui ont mis au jour les premiers restes, vendredi 13 janvier. « Profitant de la morte-saison, ils effectuaient des travaux pour enlever les débris de la Première Guerre mondiale repérés au fil de l’année, lorsqu’ils ont découvert des ossements », relate Julien Fargettas, directeur départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, notamment chargé de la gestion des dépouilles. « Ils ont tout arrêté, ont déposé un sac dessus et remis de la terre, puis ont prévenu le service d’archéologie du Grand-Est. »
Cinq poilus exhumés en 2015 dans le même champ
Mardi, les restes d’un soldat de la Première Guerre mondiale ont été retrouvés dans un champ de Cormicy, dans la Marne. Il n’est pas identifiable (la plaque n’a pas été retrouvée), mais les analyses en cours doivent permettre d’établir sa nationalité et l’unité à laquelle il appartenait. Les résultats devraient être connus demain, vendredi 20 janvier.
Ce sont les propriétaires du champ qui ont mis au jour les premiers restes, vendredi 13 janvier. « Profitant de la morte-saison, ils effectuaient des travaux pour enlever les débris de la Première Guerre mondiale repérés au fil de l’année, lorsqu’ils ont découvert des ossements », relate Julien Fargettas, directeur départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, notamment chargé de la gestion des dépouilles. « Ils ont tout arrêté, ont déposé un sac dessus et remis de la terre, puis ont prévenu le service d’archéologie du Grand-Est. »
Cinq poilus exhumés en 2015 dans le même champ
Les fouilles entamées mardi à 9 heures ont pris fin en début d’après-midi ce même jour. « Elles ont permis de mettre au jour la partie supérieure d’un corps, à 1,50 m de profondeur, au croisement d’une tranchée et d’un boyau. Il y a la cage thoracique, le crâne et les bras, mais en petits morceaux. On n’a pas retrouvé les jambes. Le soldat a-t-il été percuté par un obus ? D’autres obus sont-ils tombés sur lui après sa mort ? Cela reste à définir. » Selon l’archéologue qui a supervisé l’opération, le décès par percussion d’obus lui paraissait l’hypothèse la plus vraisemblable.
La dépouille gisait au niveau de la première des trois lignes allemandes qui défendaient le mont Espin, en direction du village axonais d’Aguilcourt. Cet emplacement permet de suspecter la date de la mort : avril 1917, il y a tout juste un siècle, lors de l’offensive du Chemin des Dames, dite offensive Nivelle. Une boucherie. Le mont Espin a englouti des centaines de soldats aux premiers jours de l’attaque déclenchée le 16 avril. À cet endroit, les Français ont combattu les Allemands avec leurs alliés russes et britanniques. Des soldats de Sa Majesté ont déjà été exhumés sur les différents champs de bataille, mais jamais encore un soldat du corps expéditionnaire russe.
Mardi, les restes d’un soldat de la Première Guerre mondiale ont été retrouvés dans un champ de Cormicy, dans la Marne. Il n’est pas identifiable (la plaque n’a pas été retrouvée), mais les analyses en cours doivent permettre d’établir sa nationalité et l’unité à laquelle il appartenait. Les résultats devraient être connus demain, vendredi 20 janvier.
Ce sont les propriétaires du champ qui ont mis au jour les premiers restes, vendredi 13 janvier. « Profitant de la morte-saison, ils effectuaient des travaux pour enlever les débris de la Première Guerre mondiale repérés au fil de l’année, lorsqu’ils ont découvert des ossements », relate Julien Fargettas, directeur départemental de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, notamment chargé de la gestion des dépouilles. « Ils ont tout arrêté, ont déposé un sac dessus et remis de la terre, puis ont prévenu le service d’archéologie du Grand-Est. »
Cinq poilus exhumés en 2015 dans le même champ :
Les fouilles entamées mardi à 9 heures ont pris fin en début d’après-midi ce même jour. « Elles ont permis de mettre au jour la partie supérieure d’un corps, à 1,50 m de profondeur, au croisement d’une tranchée et d’un boyau. Il y a la cage thoracique, le crâne et les bras, mais en petits morceaux. On n’a pas retrouvé les jambes. Le soldat a-t-il été percuté par un obus ? D’autres obus sont-ils tombés sur lui après sa mort ? Cela reste à définir. » Selon l’archéologue qui a supervisé l’opération, le décès par percussion d’obus lui paraissait l’hypothèse la plus vraisemblable.
La dépouille gisait au niveau de la première des trois lignes allemandes qui défendaient le mont Espin, en direction du village axonais d’Aguilcourt. Cet emplacement permet de suspecter la date de la mort : avril 1917, il y a tout juste un siècle, lors de l’offensive du Chemin des Dames, dite offensive Nivelle. Une boucherie. Le mont Espin a englouti des centaines de soldats aux premiers jours de l’attaque déclenchée le 16 avril. À cet endroit, les Français ont combattu les Allemands avec leurs alliés russes et britanniques. Des soldats de Sa Majesté ont déjà été exhumés sur les différents champs de bataille, mais jamais encore un soldat du corps expéditionnaire russe.
C’est dans le même champ, en 2015, que les restes de cinq poilus ont été découverts. Deux d’entre eux, qui possédaient encore leur plaque militaire, ont pu être identifiés. Tombés le 16 avril 1917, ils étaient originaires de l’Ariège et du Lot-et-Garonne. Ils ont été inhumés le 13 novembre 2016, avec leurs trois camarades inconnus, à la nécropole nationale de Cormicy.
Fabrice Curlier
journal l'Union
Re: un soldat de la grande guerre découvert dans la marne cette semaine
Que ce brave repose, désormais, en paix.
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